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Quel statut juridique choisir pour son entreprise

Bienvenue dans le monde passionnant de l’entrepreneuriat ! Si vous vous demandez quel statut juridique d’une entreprise serait le plus adapté à votre projet, vous êtes au bon endroit. 

Dans cet article, nous allons explorer les différentes options qui s’offrent à vous.

Bonne lecture ! 📖

Ce que vous allez apprendre dans cet article 📚

Qu'est ce que le statut juridique d'une entreprise ?

Le statut juridique d’une entreprise fait référence à la forme légale sous laquelle une entreprise est enregistrée et fonctionne sur le plan légal. 

En d’autres termes, le statut juridique définit un ensemble de règles dans lequel l’entreprise évolue.

Pourquoi le choix du statut juridique est crucial ?

Avant de plonger dans les détails, comprenons pourquoi le choix du statut juridique d’une entreprise est si crucial. Imaginez-le comme le squelette de votre entreprise. 

Un bon choix vous offre la stabilité nécessaire pour la croissance, tandis qu’un mauvais choix pourrait entraîner des complications indésirables. 

Il est donc important de bien comprendre les différents statuts juridiques existants et de se faire conseiller par un professionnel.

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Les statuts juridiques des entreprises

A. Auto-entrepreneur (AE)

Si vous souhaitez démarrer en douceur, l’auto-entrepreneuriat pourrait être la voie à suivre. C’est le statut juridique le plus simple à créer et à gérer, il vous permettra de tester vos idées sans trop de formalités. L’entrepreneur est responsable sur ses biens personnels des dettes de l’entreprise.

L’auto-entrepreneur est un statut juridique simplifié qui permet de créer une entreprise individuelle sans avoir à rédiger de statuts. Il est le statut juridique le plus populaire en France, car il est simple à créer et à gérer. 

L’auto-entrepreneur est un statut juridique adapté aux activités simples et à faible chiffre d’affaires. Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment la responsabilité illimitée et le plafonnement du chiffre d’affaires.

Les avantages de l'auto-entrepreneur

  • La simplicité de création et de gestion : la création d’une auto-entreprise se fait en ligne en quelques minutes. 
  • Une gestion simplifié : la gestion de l’auto-entreprise est également simplifiée par rapport à celle d’une entreprise individuelle classique. 
  • La fiscalité avantageuse : l’auto-entrepreneur est soumis au régime micro-fiscal, qui offre une fiscalité simplifiée. 
  • Les charges sociales réduites : Les charges sociales de l’auto-entrepreneur sont réduites par rapport à celles d’un entrepreneur individuel classique.

Les inconvénients de l'auto-entrepreneur

  • La responsabilité illimitée : l’auto-entrepreneur est responsable des dettes de l’entreprise sur ses biens personnels. 
  • Le plafonnement du chiffre d’affaires : le chiffre d’affaires annuel de l’auto-entrepreneur est plafonné à 77 700 € pour les activités de vente et à 188 700 € pour les activités de services. 
  • L’impossibilité de déduire les charges : l’auto-entrepreneur ne peut déduire les charges de son chiffre d’affaires pour le calcul de son revenu imposable.

L'essentiel à retenir sur le statuts d'auto-entrepreneur

L’ auto-entrepreneur est un statut juridique adapté aux activités simples et à faible chiffre d’affaires. Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment la responsabilité illimitée et le plafonnement du chiffre d’affaires.

B. Entreprise individuelle (EI)

L’entreprise individuelle est simple à créer et à gérer, elle vous permettra de tester vos idées sans trop de formalités. L’entrepreneur est responsable sur ses biens personnels des dettes de l’entreprise.

L’entreprise individuelle est un statut juridique qui permet à une personne physique d’exercer une activité commerciale, artisanale, libérale ou agricole. La différence entre le statut d’ auto-entrepreneur (AE) et de l’entreprise individuelle (EI) réside dans le fonctionnement du régime.

L’auto-entrepreneur bénéficie en effet du régime simplifié de l’auto-entreprise, lui permettant de profiter d’obligations comptables et déclaratives allégées, tandis que l’entrepreneur individuel est au régime réel (simplifié ou normal).

Cela signifie que ses comptes sont réalisés sur une base réelle.

Les avantages de l'entreprise individuelle

  • Simplicité de création et de gestion : la création d’une entreprise individuelle est simple et rapide. La gestion d’une entreprise individuelle est également simple, car elle n’est soumise à aucune formalité particulière. 
  • Flexibilité : l’entrepreneur individuel est libre d’organiser son activité comme il le souhaite. Il peut également exercer une activité libérale ou commerciale, sans distinction. 
  • Charges sociales réduites : l’entrepreneur individuel est affilié au régime social des indépendants, dont les cotisations sont moins élevées que pour les salariés.

Les inconvénients de l'entreprise individuelle

  • Responsabilité illimitée : l’entrepreneur individuel est responsable des dettes de l’entreprise sur l’ensemble de ses biens personnels. 
  • Fiscalité complexe : l’entrepreneur individuel est soumis au régime de l’impôt sur le revenu, qui peut être complexe à gérer. 
  • Plafonnement du chiffre d’affaires : le chiffre d’affaires annuel de l’entreprise individuelle est plafonné à 100 000 € pour les activités de vente et à 300 000 € pour les activités de services.

L'essentiel à retenir sur le statuts l'entreprise individuelle

L’entreprise individuelle est un statut juridique adapté aux entrepreneurs qui souhaitent démarrer leur activité rapidement et simplement. Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment la responsabilité illimitée et la fiscalité complexe.

C. SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle)

La SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle) est une SAS (société par actions simplifiée) constituée par un seul associé.

L’associé unique définit les règles d’organisation de la SASU ainsi que le montant du capital social de l’entreprise. Il peut faire des apports en numéraire ou en nature.

C’est une forme juridique hybride qui combine les avantages de l’entreprise individuelle et de la société. 

Elle est le statut juridique le plus courant pour les entrepreneurs individuels qui souhaitent limiter leur responsabilité et bénéficier d’une grande flexibilité.

Les avantages de la SASU

  • La responsabilité limitée : l’entrepreneur est responsable des dettes de l’entreprise à hauteur de ses apports. 
  • Forte protection sociale : le président d’une SASU n’est pas un travailleur non salarié mais un dirigeant assimilé salarié. Il est donc affilié au régime général de la sécurité sociale et bénéficie de la même protection sociale que les salariés.
  • La souplesse de fonctionnement : les statuts de la SASU peuvent être librement rédigés, ce qui permet de personnaliser l’organisation de l’entreprise.  La SASU permet à l’entrepreneur d’accueillir facilement de nouveaux partenaires, il suffira de céder une partie de ses actions aux nouveaux associés. 
  • La fiscalité flexible : la SASU peut opter pour l’impôt sur le revenu (IR) ou l’impôt sur les sociétés (IS). 

Les inconvénients de la SASU

  • Les formalités de création et de gestion : La création d’une SASU est plus complexe que celle d’une entreprise individuelle. La gestion de la SASU est également plus complexe, car elle nécessite de respecter les dispositions des statuts.
  • Les charges sociales élevées : le dirigeant de SASU est affilié au régime général de la Sécurité sociale, ce qui entraîne des charges sociales plus élevées que pour un entrepreneur individuel.

L'essentiel à retenir sur le statuts SASU

La société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) est une SAS qui ne comporte qu’un seul associé.

La SASU est un statut juridique adapté aux entrepreneurs individuels qui souhaitent limité leur responsabilité, avoir une bonne protection sociale et d’une fiscalité flexible. 

Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment les formalités complexes et les charges sociales élevées.

D. EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée)

L’EURL, acronyme d’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée, se présente comme une forme juridique de société à responsabilité limitée (SARL) caractérisée par la singularité d’avoir un seul associé.

Parallèlement à la structure d’une SARL, l’EURL offre l’avantage de limiter la responsabilité de son associé au montant de ses apports, garantissant ainsi une stricte séparation entre le patrimoine personnel et professionnel.

Cette distinction assure une protection juridique accrue en préservant les biens personnels de l’associé des éventuelles dettes ou obligations liées à l’activité professionnelle de l’EURL.

Si vous préférez la simplicité tout en conservant une certaine structure, l’EURL est une option solide pour les entrepreneurs individuels. 

Les avantages de l'EURL

  • La responsabilité limitée : l’entrepreneur est responsable des dettes de l’entreprise à hauteur de ses apports. 
  • La simplicité de gestion : la gestion de l’EURL est simplifiée par rapport à celle d’une société. 
  • La fiscalité avantageuse : l’EURL peut opter pour l’impôt sur le revenu (IR) ou l’impôt sur les sociétés (IS).

Les inconvénients de l'EURL

  • Les charges sociales élevées : le gérant d’EURL est affilié au régime général de la Sécurité sociale, ce qui entraîne des charges sociales plus élevées que pour un entrepreneur individuel. 
  • La rigidité de la structure : il est plus difficile de modifier les statuts d’une EURL que ceux d’une entreprise individuelle.

L'essentiel à retenir sur le statuts EURL

L’ EURL est un statut juridique adapté aux entreprises individuelles qui souhaitent limiter leur responsabilité et bénéficier d’une fiscalité avantageuse. Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment les charges sociales élevées et la rigidité de la structure.

E. SAS (Société par Actions Simplifiée)

Dans une société par actions simplifiée (SAS), les associés fondateurs (au nombre minimum de deux – personnes physiques ou morales) déterminent librement dans les statuts le capital social et les règles d’organisation de la société, notamment la nomination et la révocation des dirigeants et les modalités d’adoption des décisions collectives : conditions de quorum et de majorité, droit de veto, les conditions de forme, etc.

Elle offre une grande flexibilité dans la gestion et les droits des actionnaires. La responsabilité des associés est limitée au montant de leurs apports.

La SAS est un statut juridique très flexible qui offre une grande liberté dans l’organisation de l’entreprise. Elle est adaptée aux entreprises de toutes tailles et de toutes activités. 

Les avantages de la SAS

  • Flexibilité contractuelle : la liberté octroyée aux associés pour établir les règles régissant le fonctionnement et la transmission des actions.
  • Pas de capital minimum : le capital minimum pour une SAS est de 1 €.
  • Une structure évolutive : la SAS favorisant la facilité des partenariats et des adaptations.
  • La responsabilité limitée : les associés sont responsables des dettes de l’entreprise à hauteur de leurs apports. 
  • La souplesse de fonctionnement : les statuts de la SAS peuvent être librement rédigés, ce qui permet de personnaliser l’organisation de l’entreprise. 
  • La fiscalité flexible : la SAS peut opter pour l’impôt sur le revenu (IR) ou l’impôt sur les sociétés (IS).
  • Crédibilité renforcée : auprès des partenaires tels que banquiers, clients et fournisseurs.

Les inconvénients de la SAS

  • Les formalités de création et de gestion : la création d’une SAS est plus complexe que celle d’une entreprise individuelle ou d’une EURL. La gestion de la SAS est également plus complexe, car elle nécessite de respecter les dispositions des statuts. 
  • Les charges sociales élevées : les dirigeants de SAS sont affiliés au régime général de la Sécurité sociale, ce qui entraîne des charges sociales plus élevées que pour un entrepreneur individuel ou un gérant d’EURL.

L'essentiel à retenir sur le statuts SAS

La SAS est un statut juridique adapté aux entreprises qui souhaitent bénéficier d’une grande flexibilité et d’une fiscalité flexible. 

Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment les formalités complexes et les charges sociales élevées.

F. SARL (Société à Responsabilité Limitée)

Une société à responsabilité limitée (SARL) est une entreprise constituée de deux associés minimum et 100 maximum.

La SARL est un choix populaire pour les petites entreprises avec plusieurs associés. Elle offre une responsabilité limitée, ce qui signifie que vos biens personnels sont protégés en cas de difficultés financières. 

La SARL est très répandue en France. Elle est adaptée aux entreprises de petite et moyenne taille. 

Les avantages de la SARL

  • La responsabilité limitée : Les associés sont responsables des dettes de l’entreprise à hauteur de leurs apports. 
  • Pas de capital minimum : le capital minimum pour une SARL est de 1 €.
  • La fiscalité avantageuse : La SARL peut opter pour l’impôt sur le revenu (IR) ou l’impôt sur les sociétés (IS). 
  • La simplicité de gestion : La gestion de la SARL est simplifiée par rapport à celle d’une société anonyme (SA).

Les inconvénients de la SARL

  • Le nombre d’associés limité : La SARL ne peut avoir plus de 100 associés. 
  • Les formalités de création et de gestion : La création d’une SARL est plus complexe que celle d’une entreprise individuelle ou d’une EURL. La gestion de la SARL est également plus complexe, car elle nécessite de respecter les dispositions des statuts. 
  • Les charges sociales élevées : Les dirigeants de SARL sont affiliés au régime général de la Sécurité sociale, ce qui entraîne des charges sociales plus élevées que pour un entrepreneur individuel ou un gérant d’EURL.
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L'essentiel à retenir sur le statuts SARL

La SARL est un statut juridique adapté aux entreprises de petite et moyenne taille qui souhaitent bénéficier d’une responsabilité limitée et d’une fiscalité avantageuse. Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment le nombre d’associés limité, les formalités complexes et les charges sociales élevées.

G. SA (Société Anonyme)

C’est un statut juridique plus complexe et réglementé que les autres. Il est généralement utilisé pour les grandes entreprises. La responsabilité des actionnaires est limitée au montant de leurs apports.

Les avantages de la SA

  • La responsabilité limitée : Les actionnaires sont responsables des dettes de l’entreprise à hauteur de leurs apports. 
  • La crédibilité : La SA est considérée comme une forme juridique solide et fiable, ce qui peut être un atout pour les relations avec les partenaires et les investisseurs. 
  • La possibilité de lever des capitaux : La SA peut émettre des actions, ce qui permet de lever des capitaux auprès d’investisseurs.

Les inconvénients de la SA

  • Les formalités de création et de gestion : La création d’une SA est complexe et coûteuse. 
  • La gestion d’une SA est également complexe et nécessite l’intervention de professionnels qualifiés. 
  • Les charges sociales élevées : Les dirigeants de SA sont affiliés au régime général de la Sécurité sociale, ce qui entraîne des charges sociales plus élevées que pour un entrepreneur individuel ou un gérant d’EURL.

L'essentiel à retenir sur le statuts SA

La SA est un statut juridique adapté aux grandes entreprises qui souhaitent bénéficier d’une responsabilité limitée, d’une crédibilité et de la possibilité de lever des capitaux. Cependant, il est important de bien prendre en compte les inconvénients de ce statut, notamment les formalités complexes et les charges sociales élevées.

Les critères pour le choix du statut juridique d'une entreprise

Nature de l'activité

La nature de votre activité influence directement le choix du statut juridique de votre entreprise. Certains statuts sont plus adaptés aux activités libérales, tandis que d’autres conviennent mieux au commerce.

Nombre d'associés

Le nombre d’associés est un facteur clé. Pour une entreprise individuelle, l’auto-entrepreneuriat, la SASU ou l’EURL peuvent être appropriés, tandis que les SARL, SAS et SA sont adaptées à plusieurs associés.

Le montant du capital social

Le montant du capital social n’est pas obligatoire pour tous les statuts juridiques. Cependant, il est nécessaire pour les sociétés par actions (SA).

Ce capital représente l’ensemble des apports des actionnaires, jouant un rôle crucial dans la santé financière et la capacité d’investissement de la société. 

Il sert également de mesure de sécurité, assurant la solvabilité de l’entreprise et protégeant les créanciers en cas de difficultés financières.

NécessaireOUINON
Auto entrepreneur🛑
AE🛑
EI🛑
SASU🛑
EURL🛑
SAS🛑
SARL🛑
SA🛑

Démarches administratives

La création d’une entreprise est une étape importante qui nécessite un certain nombre de démarches administratives. Pour vous aider à vous y retrouver, nous avons mis en place un service comptable. 

Chez Concorde Assurance, nos experts comptables vous accompagnent de A à Z dans la création de votre entreprise, quel que soit son statut juridique. Ils vous conseillent sur le choix du statut le plus adapté à votre activité, vous aident à rédiger les statuts et à effectuer les formalités administratives. Voici les différentes étapes de création

Les formalités de création

Pour chaque statut juridique d’une entreprise, les procédures peuvent varier, mais certaines étapes sont généralement communes à toutes.

Étape 1 - Choisir un nom pour votre entreprise

Tout d’abord, vous devrez choisir un nom pour votre entreprise et vérifier sa disponibilité auprès du registre des entreprises.

Étape 2 - Rédiger les statuts de votre société

Ensuite, il sera nécessaire de rédiger les statuts de votre société, détaillant son fonctionnement et ses règles internes.

Étape 3 - Formalités d’immatriculation

Après cette étape, vous devrez effectuer les formalités d’immatriculation auprès de la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) ou du Centre de Formalités des Entreprises (CFE).

Étape 4 - Obtention du numéro de SIRET

Ne négligez pas l’étape cruciale de l’obtention de votre numéro SIRET, indispensable pour toutes les démarches administratives ultérieures. Enfin, selon votre activité, vous pourriez avoir besoin d’obtenir des licences spécifiques. 

N’hésitez pas à solliciter l’aide d’un professionnel ou à consulter les ressources en ligne des administrations compétentes pour vous assurer que toutes les démarches sont correctement effectuées, vous permettant ainsi de vous concentrer pleinement sur le développement de votre entreprise.

Conclusion sur les différentes formes juridiques d’une entreprise

Voilà, vous avez maintenant une vue d’ensemble des différents statuts juridiques des entreprises.

Le choix dépend de vos objectifs, de la nature de votre activité et du nombre d’associés.

Prenez le temps de bien réfléchir, et n’hésitez pas à consulter un expert en droit des affaires pour vous guider.

FAQ sur le choix du statut juridique

L’auto-entrepreneur peut être une option idéale en raison de sa simplicité administrative et de ses avantages fiscaux pour une activité indépendante.

Si vous êtes seul, l’EURL est souvent préférable à la SARL. Elle offre une gestion simplifiée tout en maintenant une structure formelle.

La SAS (Société par Actions Simplifiée) convient à plusieurs associés, tandis que la SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) est conçue pour un entrepreneur unique.

Oui, il est possible de changer de statut juridique en cours d’activité, mais cela implique des démarches administratives. Consultez un expert pour vous guider.

Vous pouvez consulter le registre du commerce, la publication légale, ou utiliser des services en ligne spécialisés pour connaître le statut juridique d’une entreprise.

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